[J9] PORTUGAL - FRANCE

Alors oui, forcément, certains seraient tentés de présenter le Portugal à grand renfort de clichés, et autres stéréotypes témoignant du mépris que le Français manifeste le plus souvent à l'égard des minorités, et en particulier à l'égard de celles qui sont issues de son immigration. C'est bien connu, le Français est un con. Méchant, en plus.

Eh bien non ! Profitons de cette occasion pour battre notre coulpe. Mettons un terme à toutes ces vilenies caricaturales, faisons de notre jeu un trait d'union fraternel. Parce que les Portugais sont comme nous. Non, les Portugais ne sont pas tous ouvriers du bâtiment ou femmes de ménage, les Portugais ne se laissent pas tous pousser la moustache pour ressembler à leur maman, les Portugais ne se prénomment pas tous Manuel, Miguel ou Carlos... Et quand bien même, il n'y aurait pas de mal.
Je dédicace d'ailleurs cette présentation au premier Portugais qui a compté dans ma vie : Patrick. Souriant camarade de mes premières années d'école, Patrick était fils d'un maçon fort adroit de ses mains et d'une... Oui, bon, on s'en fout, de ce que faisaient les parents de Patrick. C'est pour toi, Patrick.

Intéressons-nous donc à cette belle équipe nationale portugaise. De beaux milieux, soignés, propres sur eux : Manuel Ferreira Brás, Manuel Carlos... Hum... voyons plutôt la défense : nous trouverons sans doute face à nous l'élégant... Manuel Matamouros.
Ne vous gaussez pas ! Ne tombez pas dans les pièges sarcastiques de l'aléatoire, qui se moque de votre intelligence, et non des Portugais ! Manuel est un très beau prénom, déjà, d'une, et il n'y a dans l'équipe qu'un seul Miguel, qu'un Fernando, qu'un Sancho. Et pas un seul patronyme rigolo. A part peut-être les deux mecs qui s'appellent Matos. Et puis peut-être un peu aussi le moustachu Feital, qui n'arrive pas à oublier sa mère. Et Bento.

(Putain, pourraient m'aider un peu, les Portos... Quand ça sonne pas lusitanien, c'est encore pire : "Daniel Trindade", la djeule... Z'ont même un mec prénommé "Gentil". Y en a pas un de potable. Ah ! tiens, "Gericota", l'entraîneur, c'est pas trop ridicule, ça, "Gericota". Hi ! hi ! c'est encore un connard de moustachu. Avec un peu de chance, le nom renvoie à un truc un peu classieux...
Alors... Quéqu' il me dit, Google ? Sans déconner ! le premier lien qu'il me sort, c'est sur un "Manuel Gericota", ingénieur en... quoi ? En électricité ? Mais ils le font exprès ! Qu'est-ce que c'est que ce pays de merde ! Fait chier, j'abandonne.)

Bon, il semblerait dans le cadre minimaliste de ce petit jeu Internet, les Portugais soient bien des mecs qui s'appellent Manuel, Miguel, Carlos ou même Manuel Carlos pour les plus incurables d'entre eux. Si nous avons tous l'heureuse opportunité, dans nos vies réelles, de nous montrer courtois avec ces gens, je serais tout de même d'avis que nous leur bottions méchamment le cul ici, et sans vergogne.

Allez les bleus !

Pour ceux qui en auraient douté, qu'ils le sachent : moyennant le gavage d'une petite quarantaine de litres d'huile multigrade, une 404 peut parcourir Paris-Lisbonne en moins d'une demi-heure, surtout si elle est animée de la farouche volonté de sauver Louise des griffes du Démon…

Après Portugal - France 467484296
l'ignoble BAKi se fait cueillir par Radio-Commune

Ils n'eurent donc qu'à se laisser porter, ceux de Radio-Commune, jusqu'à l'entrée du Nova Catedral au moins. Ensuite, c'est de leurs pieds ailés qu'ils parcoururent le reste du chemin, faisant irruption dans le vestiaire des Bleukis les armes à la main, nous sommes au regret de le dire.

Nous ne nous étendrons pas sur la nature et la qualité desdites armes. Sachez néanmoins que la munition 7,62x51mm OTAN était le plus petit calibre employable.

Dans le vestiaire saisi de stupeur, les 26 personnes présentes, dont 24 lignes de code, se sont au bruit tournées vers la porte qui a explosé sous la poussée radio-communeuse. Les visages sont figés.

DidierF — BAKi, tu lâches Louise, tout de suite !

Mikhaïl — Et tu réponds à nos questions !

Le jeune Couzinet vient de s'oublier dans son pantalon.

Quant au narvalo d'la Croix d'Chavaux, il lève lentement les mains… et Louise se précipite vers ses sauveurs, le cœur battant, la poitrine soulevée par un halètement qui, que, bref.

BAKi (plus mielleux qu'un Levantin graisseux et interlope dans les films que vous aimez tous) — Je lève les mains, voilà… Soyez prudents avec vos joujoux…

Karl (qui agite nerveusement sa MG 42, héritée d'un grand-père patriote) — Brend un "x" au bluriel gomme hibou, chou, caillou, genou !

BAKi — Et "bijou", my preciousss…

Jules (qui crache le mot) — Et "pou" !

Il fait un pas en avant et frappe BAKi du plat de son SIG Pro. Ce n'est pas de la plus extrême élégance mais enfin, faut c'qu'i' faut.

BAKi roule par terre.

Puis lentement il se relève, les bras toujours en l'air. Il sourit veulement, montre bien les paumes de ses mains et passe plusieurs fois sa langue sur ses lèvres, à toute vitesse. De la sueur perle sur son mufle, tandis que sa joue est rosée de sang. C'est dégoûtant.

Mik — Alors, ce résultat… satisfaisant malgré tout, ou pérave ?

BAKi (toujours le sourire aux lèvres) — Très bon ! Vu les conditions d'avant-match (très vite, à Mik) que j'exposerai dans mon prochain débrief', ne t'énerve pas, c'est un excellent résultat.

Léon (le sourcil encore froncé) — Qu'a-t-il manqué pour que ça passe ?

BAKi — De la chance. (Tout R-C a de nouveau l’œil plus que menaçant.) … 'fin attention, je dis pas qu'on en a manqué, mais pour prendre 2 points supplémentaires, il en fallait beaucoup. (Il sourit de toutes ses dents, malgré le sang qui maintenant coule franchement.) … Beaucoup, beaucoup.

DF — Quelle est notre marge de manœuvre pour les cinq derniers matchs ?

BAKi — Toujours un joker en poche. Content de ne pas l'avoir grillé ce soir. (Sur un signe, il poursuit.) Et comme je l'ai déjà dit, si on peut éviter de le griller, ça sera encore mieux.

Jules — La ramène pas, c'est pas à nous que tu l'as dit.

Visage impassible du Montreuillois.

Mik — On en est où des entrées de joueurs ?

BAKi — Demba Fam nous a rejoint ce soir. Un milieu défensif… Ça fait 25 joueurs, il nous reste une place dans l'effectif pour les 5 prochains matchs.

Mikhail fouille un peu les archives et prend des notes, son FN Herstal posé sur les genoux.

Karl — Mit ein "x" au bluriel !

Mais Karl…

Karl (hurlant) — Was?

Oh, bon, ça va, rien, rien… Donc, ensuite, c'est… Aïe, c'est Didier…

DF — Qu'est-ce que tu comptais faire avec Louise dans le vestiaire ?

BAKi — Louise et moi, on se connait très bien. (Louise qui n'en peut plus éclate en sanglots. De nouveau les stagiaires mâles font un pas en avant…) Eh, oh, n'oubliez pas que Didier l'a lâchement abandonnée entre mes mains il y a quelques semaines.

DF — On n'a pas encore réglé cette question…

BAKi — Tu veux dire qu'elle était en location ?

Cliquetis d'armes.

BAKi — Ça va, ça va, je plaisantais pour détendre l'atmosphère… En tout cas, elle, elle s'en souvient. (Son sourire devient abject de sous-entendus.) Étonnant qu'elle soit revenue m'interviewer d'ailleurs… Le syndrome de Stockholm ?

Léon (hors de lui) — Tu nous traites de Suédois ?

Jules — D'façons, Coutand ne l'aurait jamais permis.

BAKi — D'façons, si ce vieux con m'emmerde, je le sors de l'effectif. Alors qu'il ferme sa gueule, c'est moi le patron !

Coutand vient de blêmir et de serrer les poings. Mais il reste immobile et silencieux. Je ne suis qu'une didascalie, je n'y connais rien en ht-football mais j'ai une certaine habitude du théâtre classique et même moderne et moi, je serais BAKi, je ferais gaffe à le ménager, ce gars, il a maintenant la tête du type qui vous réserve un chien de sa chienne.

Jules (qui pense comme moi) — Tu fais le malin mais FrenchCoastOffense, c'est quoi, son match, demain ?

BAKi — Un amical contre mon meilleur ami. (Sourires entendus en face.) Si ! La preuve, c'est lui qui s'occupe d'animer le sujet de CDM sur France.

Stupeur du côté de R-C. On bronche, on maugrée, on crache par terre.

DF (maintenant anxieux) — Et ça s'annonce comment ?

BAKi — Entre amis on s'arrange toujours. Je lui ai donné 3 points à l'aller, il va me les rendre.

Mik — Oh putain de bon Dieu de bordel… Çui-là est déjà dans le multiplex de demain.

Léon — Mik ! Langage !

DF — Merci, BAKi. Tu peux baisser les bras, main'nant.

BAKi — Ouais, ouais… Louise, on se reverra, t’inquiète pas…

Louise frémit de tout son corps et se serre plus fort encore contre Didier.

Jules s'avance vers le sélectionneur dont les yeux luisent comme des escarboucles et qui ne recule pas.

DF — Laisse, Jules, laisse-le… On en a encore besoin tant que nos Bleus restent en course pour la médaille d'or… Après, les comptes seront réglés. Avec usure.

Je sais que l'actualité chaude du moment est l’arrivée prochaine du G(rand) M(échant)_Kakker mais si vous voulez savoir comment vos chers Bleus-bites ont ramené un point du Portugal, voici un peu de lecture.

Debriefing de Portchougal - France

Avant-match

Sans aucun doute le match le plus compliqué de ces qualifs.
Le terrain, le TS (+0.4), la qualité de l'effectif (nourris en farm aux hormones de croissance), tout était à l'avantage des Portugais.

Ajoutez à cela que leur retard au classement sur le 2ème du groupe (4 points) les oblige dorénavant à jouer chacun de leurs matchs comme une finale.
Difficile donc de les imaginer autrement qu'en PIN.

Dans ces conditions, impossible de rivaliser au milieu.
Même pas en PIN + béninoise ('fin c'est juste pour vous donner une idée de l’écart au milieu, on allait quand même pas griller un PIN en béninoise, faut pas déconner...)

Nous avons donc décider de préserver notre TS et de concentrer notre réflexion sur des compos défensives en PIC.

2 choix possibles :

- La béninoise (mais en PIC).

- La CA.

La première option tenait la corde tout au long de la semaine et même jusque tard le vendredi soir.
Elle présentait l'avantage d’être inattendue (vu qu'on a joué quasiment tous nos matchs à l’extérieur en CA), de limiter son nombre d'occasions, de monter au maximum notre défense avec les joueurs à disposition, d'aligner un maximum de joueur de tête (jusque 8 selon la disposition) et même de pouvoir scorer sur l'aile faible adverse si le coach portugais alignait un 253 avec défense asymétrique dont il semble raffoler.

Et pourtant, j'ai décidé 45 minutes avant le match de ne pas la choisir.

Pourquoi donc, dis donc ?!

Malgré tous ces avantages, la béninoise présentait également quelques inconvénients :

- Si le coach portugais décidait de jouer en 352 ercanto avec 2 MvA (l'autre option adverse qui semblait la plus probable avant le match), la béninoise était à la ramasse en terme de possession (11-- vs 14++ soit 42%).

- Face à ce même 352, aucune chance de scorer autrement que sur SE corner + JdT ou CF et vu notre réussite sur coup de pieds arrêtés depuis le début des qualifs, il ne valait mieux pas encaisser un but.

- Les possibilités d’évolution tactique en cours de match étaient quasiment nulles sans cocher la case CA.

Ces 3 facteurs combinés au fait que je n'imaginais pas le coach adverse complétement se découvrir derrière étant donné notre potentiel offensif en CA ont finalement eu raison de l'option béninoise.

Du moins pas pour débuter le match.

Nous nous sommes donc repliés sur une CA avec un minimum de possession et un potentiel max en défense.
Le tout en montant deux ailes capables de surpasser les défenses latérales adverses en 352 coach offensif et même en 253 asymétrique... s'il ne mettait pas son DC vers l'aile (chose qu'il a l'habitude de faire mais qui était risqué face à nous puisque nous venions d'aligner 4 matchs avec une grosse attaque centrale).

Pour optimiser cette compo il nous fallait intégrer un milieu défensif au top de sa forme : Demba Fam.
18 PM - 14 DF (en gros), forme 8 et costaud.
Nous perdions un JdT mais nous pouvions bénéficier du non-négligeable SE météo sous la pluie lisboète.

Une compo capable d’évoluer en "semi-béninoise" si nous avions la chance de mener dans le match.

La voici :

Déf. latérale droite divin (très haut) [23.25]	Défense centrale divin (très haut) [22.75]	Déf. latérale gauche divin (très haut) [23.25]
Milieu de terrain excellent (très haut) [8.75]
Attaque aile droite titanesque (très bas) [15.00]	Attaque centrale excellent (très bas) [8.00]	Attaque aile gauche titanesque (très bas) [15.00]

Ne restait plus qu'à mettre le coach défensif, croiser les doigts, toucher du bois, brûler des cierges etc...

---

Le match

Portugal choisit une formation stratégique, un 2-5-3.
Sur une musique de gladiateurs, les joueurs suivants prirent place sur le terrain : Pádua - Cruz Vieira, Magalhães - Ferreira Brás, Serafins, Mondim, Trindade, Catalão - Matos, Almeida, Queirós.

Arf, mauvais feeling.
Mon gros pif venait de me trahir...

3 vrais attaquants et un DC vers l'aile, je ne pensais pas qu'il prendrait ce risque (aussi bien défensivement qu'au niveau de son milieu).
Du coup son attaque est bien plus haute que ce qu'on avait prévu (21 en AC et 23 sur l'aile forte d’après les dires du coach portugais).

Le match démarre.
On croise les doigts un peu plus fort et on espère prendre l'avantage rapidement pour passer en 451 (quelque soit la minute).
Une compo bien plus adaptée à ce 253.

13ème minute de jeu, nos vœux sont exaucés :

Les visiteurs prirent l’avantage après 13 minutes lorsque Kévin Grimonprez, sur un centre venant de la droite, propulsa le ballon au fond des filets. 0 - 1.

Suffisait de demander.
Poliment.

Un but sur son aile forte (46% de ratio), obtenu sur une occase normale avec 41% de possession.
Quand je vous dis que ce mec a la poisse !

Dans la foulée, l’équipe passe en 451 pour réduire ses occasions de revenir au score :



28ème minute de jeu, la France bénéficie d'un SE météo...Ah oui, mais non, celui-là il est négatif, c'est pas le bon Monsieur le Moteur de Jeu.

Bon, pas bien grave, la victime (Kévin Grimonprez, un ailier rapide) est presque totalement dépourvu de défense.

Le match continue et à la 37ème minute, le Portugal obtient une occasion au centre que Henrique Queirós ne parvient pas à concrétiser.
S'en suit une contre-attaque pour la France... qui fait mouche !

Bzzzzzzzzzzzzzzz !! \o/

Rémi "sans amis" Caboche sur la gauche.
Cette fois pas de discussion possible, le ratio est largement favorable à la France (66%).
0-2 pour les Bleus !

40ème minute, les esprits s’échauffent.
Guilherme Cruz Vieira récolte un carton jaune suite à une faute grossière signe de sa frustration d’être petit, moche, poilu, portugais et mené 2-0 chez lui par d’élégants français qui semblent réciter un balai sous cette pluie battante.

Il pleut, il mouille, c'est la fête à la grenouille !

Oh, mais que vois-je ?

Un Remalian tout triste.
Pourquoi donc ?

Diogo Mondim passa un mauvais moment sur ce terrain humide – sa technique ne lui était d'aucun secours par ce temps.

Ah, c'est parce que son ami Diogo, galère sous cette pluie... Le pauvre.
Allez, c'est pas grave, vous vous réconforterez sous la douche en faisant joujou avec votre savonnette.

Coquins !

Et Baptiste Petit qui vendange à la 43ème minute !
Ah la la la la... Il avait pourtant l'occasion de tuer le match sur cette contre-attaque au centre du terrain.
Bon, en même temps avec un ratio att/def de 31%, c’était difficile de marquer.

Merde !
Le Portugais n'est pas gâté par la Nature, mais il est fier (bon, on sait pas trop de quoi, mais il est fier quand même) et il n'a pas l'intention de se faire marcher dessus à domicile par des connards arrogants (Nous) !

La preuve à la 44ème minute, Antero Matos réduit la marque sur l'aile forte portugaise (50/50).
1-2 et mi-temps.

Bonne nouvelle, la possession portugaise n'est "que" de 56%.

La seconde mi-temps démarre et rien pendant 10 minutes... jusqu'à l’égalisation portugaise par, encore une fois, cet enfoiré de Matos le Tos !
2ème occase sur la gauche et 2ème but.
Péder !
2-2.

Et presque 3-2 lorsque trois minutes plus tard, Gilberto Catalão s'approche dangereusement du but français sur cette occasion au centre du terrain mais frappe sur le poteau.

68ème minute de jeu, Baptiste Petit reçoit lui aussi un carton jaune pour avoir un peu trop exprimé sa frustration d'être... petit.

Heureusement, 5 minutes plus tard, son copain Hubert Lobet lui remonte le moral en plantant un 3ème but pour la France.
A gauche sur l'aile abandonnée de la défense portugaise.
2-3.

Il faut tenir !

Le coach portugais réagit immédiatement en remplaçant un défenseur latéral par un ailier (au poste de DL).
Changement étonnant puisqu'il nous permet d’être de nouveau en bilate.

Malheureusement, la France a déjà bénéficié de ses occasions normales et de ses contre-attaques, et la dernière occasion reportée sera portugaise.

Suspens...

Une erreur monumentale de la défense sur le côté droit après 82 minutes permit à António Santiago Almeida d’égaliser pour Portugal. 3 - 3.

Pitain d'enfoiré de merde !

C'est qui qui joue à droite ?!

Je vous le donne dans le mille : Maxime Combe !
Monsieur "j'offre des points à mes adversaires soit en loupant des CFs soit en faisant des conneries monumentales" !

Aaaargh ! 100 Pompes !
Schnell !

Le match se termine sur le score de 3-3 et c'est un putain de bon résultat malgré le scenario du match !

---

Après-match

Évidemment qu’après avoir mené 2-0 et 3-2, on peut nourrir des regrets de ne récolter qu'un point mais vu les conditions d'avant-match, c'est un point qui vaut son pesant de cahouètes.

Nous avons eu de la réussite et de toute façon il en fallait pour ne pas perdre.
Alors ne boudons pas notre plaisir.

Stat intéressante, 'fin je trouve, il s'agissait de la 6ème fois que nous affrontions un PIN.
En 8 matchs !

Ça fait beaucoup.
Le groupe est toujours aussi serré et même si nous avons toujours 4 points d'avance sur le 3ème, le moindre faux-pas nous mettrait à portée de tir de cette meute de fous furieux.
Alors restons groupiiiir !

Le match de vendredi prochain devrait être un peu plus cool que les précédents puisque l'Islande a MOTSé son dernier match et se retrouve avec un TS irrité.
J’espère que dans 2 jours et 22 heures, c'est leur anus qui sera bien irrité !

En attendant, il va quand même falloir bosser cette semaine, ne serait-ce que pour ne pas se retrouver tout con si l'Islande venait nous MOTSer.

Tchô les Niouks et Allez les Bleus !!!